Il y a vingt ans, le cyclisme était naïf. Au temps où les coureurs freinaient dans les virages de l’Alpe d’Huez, on criait à l’exploit. Aujourd’hui, le cyclisme est devenu paranoïaque. Dès qu’ils tournent les jambes un peu vite, on crie à la supercherie.
Le Tour de France ne fait plus rêver. Et quand …